Un parfum de lyrisme et de poésie traverse sa palette et rejaillit sur ses œuvres. Il était un artiste discret, soucieux avant de tout de parfaire son art. Georg Daubner ne voulait pas gaspiller son temps, dans la veine recherche d’une promotion ou de la clameur publique. Il donnait tout à son art et il fut l’un des plus remarquables impressionnistes alsaciens de sa génération.
Cours d'eau en hiver. Huile sur toile. SbD. Collection particulière.
Sa discrétion quasi maladive l’a malheureusement conduit dans un oubli profond
Sa discrétion quasi maladive l’a malheureusement conduit dans un oubli profond. Né à Berlin en 1865, Georg Friedrich Alexander Daubner succède à son grand-père qui fut machiniste au Hoftheater de Berlin, ainsi qu’à son père, inspecteur du théâtre. Julius Lechner, peintre-décorateur berlinois, le prend en apprentissage à l’âge de seize ans et lui enseigne le complexe art de scène et de peintre-décorateur. Il s’agit d’un art ingrat, comme aimait à le souligner Daubner. Un art que le spectateur d’un opéra ne voit guère, et pour cause, parce qu’il forme un ensemble et cet ensemble se fond dans la représentation. En quasi autodidacte, Georg Daubner acquiert une solide pratique de cet art.
En 1892, l’artiste s’installe à Strasbourg, sur les conseils d’un ami, Georges Haecker. La ville de Strasbourg connaît alors une croissance rapide, qui attire de nombreux allemands venus de toutes les parties du Reich. Daubner rencontre sa femme, originaire de la Robertsau, et l’épouse en 1893. Il est nommé professeur à l’Ecole des arts décoratifs de la ville dès son arrivée à Strasbourg. Ce nouvel établissement est sous la direction d’Anton Seder, qui a repris la charge de l’établissement d’art à Strasbourg. Ce dernier, concentre dans l’école un corps professoral qui se distingue particulièrement dans l’art décoratif. La toute nouvelle école veut être un exemple dans le genre et veut créer des émules dans l’Empire allemand. On retrouve différentes disciplines tels que : la céramique, la menuiserie, l’ébénisterie, la ferronnerie d’art, l’orfèvrerie, … accompagnées d’un enseignement classique de peinture, de modelage et de dessin. Ainsi l’école voulait former des artisans d’art hautement qualifié. Georg Daubner occupait l’enseignement de peinture décorative, peinture de théâtre, et un cours pour dames.
Joutes nautiques (Gänselspiel). Huile sur toile 51,3x65cm. Don de Melle Daubner. Musée d'Art moderne et contemporain de la Ville de Strasbourg.
La Petite France à Strasbourg. Huile sur toile. SbG. Provenance : Galerie Kiwior à Strasbourg. Collection particulière.
Daubner, était un fin coloriste, aussi distingué comme homme que comme artiste
Aloyse Andrès brosse un juste portrait de l’enseignement de Daubner dans la monographie sur l’artiste René Kuder datant de 1946 : « Daubner, était un fin coloriste, aussi distingué comme homme que comme artiste, d’un naturel plutôt froid et discret, assez avare de paroles, s’ouvrant pourtant de temps en temps à un élève, quand il y sentait une âme au même diapason. Il ne se lassa pas de prêcher l’étude des valeurs, l’exacte proportion des tons, la relativité des uns aux autres, comparés au blanc pur ou au grain du papier, comme extrême valeur-lumière, et au noir qui en représente l’absolu contraire, suivant le précepte du grand Corot. Son influence sur les élèves de cette génération est encore aujourd’hui incontestable. »
Georg Daubner avait effectivement formé une bonne partie de la génération d’artistes nés sous le Reichland d’Alsace-Lorraine. Pour ne citer que quelques noms : Henri Bacher, Jacques Gachot, Luc Hueber, Robert Kammerer, Henri Loux, Philippe Steinmetz, etc…
L’enseignement de Daubner était rigoureux et très technique, comme le laisse entendre les propos Aloyse Andrès. Mais, il faisait aussi participer ses élèves à des travaux fort intéressants, à la réalisation par exemple des décors du théâtre municipal ou les décors des foires, dont Daubner avait la charge. Ainsi, son enseignement se voulait professionnel et cherchait à assurer un déboucher à certains d’entre-eux.
Waldzee (projet pour Parsifal). Aquarelle, gouache et fusain sur papier. 242x357mm. SbD. Don de Melle Daubner. Musée d'Art moderne et contemporain de la Ville de Strasbourg.
Vor der Gralsburg. Aquarelle, gouache et fusain sur papier. 254 x 350mm. Datée de 1913. Don de Melle Daubner. Musée d'Art moderne et contemporain de la Ville de Strasbourg
Georg Daubner rencontrait alors Charles Spindler et Gustave Stoskopf, hommes de fil du mouvement de la « conscience alsacienne »
A l’école des arts décoratif, Georg Daubner noue une véritable amitié avec les professeurs et collègues tels que Carl Jordan (professeur de peinture), et Albert Muschweck (professeur de sculpture). Ainsi durant les premières années à Strasbourg, Daubner reste très secret et ne dévoile pas son talent au public alsacien. Les amis et amateurs de son art, poussent ce dernier à exhiber ses œuvres et à affronter les cimaises des galeries strasbourgeoises. Georg Daubner rencontrait alors Charles Spindler et Gustave Stoskopf, hommes de fil du mouvement de la « conscience alsacienne » qui avait pris naissance dans la province durant les années 1890. Georg Daubner prendra également une part active dans les nouvelles orientations de ce mouvement alsacien, qui après 1900, commence à se scinder en plusieurs groupes. Charles Spindler et Gustave Stoskopf, veulent poursuivre l’élaboration de la nouvelle culture alsacienne. Ils ne veulent pas une orientation francophile de leur mouvement, car ils souhaitent conserver au sein même de ce groupe des artistes issus de l’Allemagne. L’Allemagne représentait alors un débouché et des opportunités bien plus intéressantes pour les artistes alsaciens en contact avec le reste du Reich.
Troupeau d'oies dans la forêt du Rhin. Huile sur toile 68x109cm. SbD. Don du Groupe strasbourgeois d'amis des arts (Strasbourg) en 1900. Musée d'Art moderne et contemporain de la Ville de Strasbourg.
Daubner était désormais reconnu dans toute l’Allemagne malgré le fait qu’il ait débuté tardivement sa carrière d’artiste-peintre !
En 1905, Georg Daubner devient membre fondateur de l’association des artistes strasbourgeois (Verband der Strasburger künstler), dans lequel, il est vice-président. Il participe aux nombreuses expositions à la galerie Bader-Nottin, au Palais Rohan en 1903, à la société des amis des arts de Strasbourg, et à la Maison d’art alsacienne, qui est le siège et le lieu d’exposition de l’association des artistes strasbourgeois. Mais, Georg Daubner est également présent à Berlin, Cologne, Darmstadt, Karlsruhe, Mulhouse, Stuttgart, Wiesbaden, Zurich etc...grâce aux initiatives du Verband der künstfreunde in der Ländern am Rhein de Düsseldorf, qui comptait pas moins de quatorze milles membres. Daubner était désormais reconnu dans toute l’Allemagne malgré le fait qu’il ait débuté tardivement sa carrière d’artiste-peintre !
Son art s’inscrit très clairement dans la peinture impressionniste et suit le précepte fondamental de pleinairisme. A tort, on classait autrefois l’artiste dans le style de Makart, peintre autrichien, à la peinture grasse et pompeuse, qui n’est pas comparable à celle de Daubner. Il affectionnait particulièrement le paysage et se forge une sérieuse réputation dans ce genre. Il se démarque pourtant des grands impressionnistes français dans le choix du sujet et dans l’approche chromatique. Il ne suggère pas une image à l’aide d’une palette chromatique colorée ou d’une touche vibrante propre à l’art impressionniste français. Georg Daubner recherche plutôt les effets climatiques naturels, qui offrent parfois un spectacle visuel étonnant. Il suffit de penser à la réverbération d’un couché de soleil sur une mer ou à l’aurore qui dépose un voile rose sur une neige immaculée pour comprendre la différence et la rigueur de l’observation de cette catégorie de peintres. Dans ce registre, il se classe près de l’artiste russe Ivan Federovich Choultse, qui pourtant demeure son cadet, et qui comme lui saisissait un instant de la nature pour faire éclater une palette riche en couleurs.
Zaubergarten, avant-projet pour Parsifal. Pastel et aquarelle avac rehauts de gouache. 267x385mm. Don de Melle Daubner. Musée d'Art moderne et contemporain de la Ville de Strasbourg.
Paysage du Ried. Pastel. SbD. Provenance Galerie Kiwior à Strasbourg. Collection particulière.
Sa sensibilité lui offrait un surplus de capacité, dans la mise en scène et le cadrage
Georg Daubner excellait autant dans l’aquarelle que le dessin, et ses illustrations se retrouvaient dans de nombreux ouvrages d’art à Strasbourg. Mais la technique de la peinture à l’huile demeurait son art favori. La maîtrise des demi-tons lui permettait de réaliser des œuvres parfaites, ses couleurs s’harmonisaient à merveille entre elles dans une douceur qui sublimait le paysage. A la fois authentiquement réaliste, Georg Daubner avait su développer grâce à sa connaissance du monde théâtral une touche plus subtile en comparaison à Ivan Choultse. Sa sensibilité lui offrait un surplus de capacité, dans la mise en scène et le cadrage. Daubner maximisait avec le simple jeu de sa palette chromatique des sensations colores imperceptibles à l’œil, et qui inconsciemment, dans la mécanique cérébrale, composent un ensemble harmonieux. Georg Daubner rejoint alors certains artistes impressionnistes tels que le norvégien Frits Thaulow pour ses paysages de neige et ses cours d’eau ou encore l’école Belge à l’aube du XXe siècle qui décline un postimpressionnisme alliant tradition picturale et une palette lumineuse (luminisme). Pourtant, Georg Daubner ne devait pas non plus verser continuellement dans le luminisme, son réalisme retenait aussi des paysages hivernaux brumeux, avec des horizons compacts ne laissant pas la lumière du soleil transparaître. Il savait jouer avec la neige tombante, la vibration des feuillages sous le vent d’automne. Daubner arrivait à déceler les couleurs sourdes et à restituer une sorte de poésie, digne des plus grands maîtres de la peinture. Ses couleurs harmonieuses délivraient en plus une sensation très différente du paysage classique et amènent à la rêverie. Il n’est alors absolument pas étonnant, que Georg Daubner soit devenu bien plus tard décorateur en chef de l’Opéra de Strasbourg. Il s’agit là d’une de ses qualités notoires et qui le place à part dans l’aventure impressionniste.
L’Inspiration, Georg Daubner la trouvait justement à nouveau en Alsace. Il représentait abondamment Strasbourg et ses alentours : l’Ill, le Wacken, la Robertsau, le parc de Pourtalès, Hoerdt, … mais également le vignoble alsacien, et les massifs vosgiens avec des vues admirables et poétiques de Bergheim, Dambach, Fleckenstein, Kaysersberg, Riquewihr, Saint-Odile, La Schlucht, Wildenstein, Zellenberg…
Cathédrale de Strasbourg. Huile sur toile. 105x83cm. SbG. Provenance Galerie Kiwior à Strasbourg. Collection particulière.
La notoriété de Georg Daubner grandissait avec le temps et les nombreuses expositions auxquelles il participait, le précipitait très vite au devant de la scène. Le théâtre de Wiesbaden, faisait appel à son talent et tentait de s’attacher l’artiste pour réaliser les décors du théâtre municipal. Georg Daubner déclinait la généreuse offre, préférant conserver son poste de professeur à l’école des arts décoratifs de Strasbourg.
A partir de 1907, Daubner sollicite le poste de décorateur de l’Opéra de Strasbourg auprès de la municipalité. L’année suivante, l’administration accède à sa demande et le nomme peintre de théâtre pour un premier contrat de quatre ans. En quelques années seulement, Georg Daubner réalise les plus beaucoup décors pour les opéras. Il collaborait étroitement avec Hans Pfitzner, qui était depuis 1908, directeur du Conservatoire de Strasbourg, ainsi que chef d’orchestre du philarmonique de la même ville. Ce dernier, devenait deux ans plus tard, directeur, et metteur en scène de l’Opéra de Strasbourg. Ils travailleront ensemble, et jusqu’en 1919, à l’élaboration des décors de scènes les plus gracieux de leur temps.
Daubner s’attachait aussi les artistes Joseph Sattler et Léo Schnug pour la composition des costumes et de certains décors
Bord de rivière en Alsace. Huile sur carton. SbG. Collection particulière, Alsace.En effet, Georg Daubner s’était depuis plusieurs années forgé une réputation dans ce domaine. Outre le fait, d’avoir débuté sa carrière dans la peinture de théâtre avec Julius Lechner au Hoftheater de Berlin, il avait également contribué à la rédaction de nombreux articles à ce sujet dans la revue Kunstgewerbe in Elsass-Lothringen, et dans d’autres revues des arts décoratifs allemandes. Georg Daubner pensait à juste titre, qu’il s’agissait d’un métier et d’une discipline très difficile. Les débouchées étaient rares, de plus le métier était peu considéré. Son enseignement était ardu, il exigeait une maîtrise des perspectives et de la géométrie. Il affectionnait une grande importance à l’architecture. Le peintre décorateur est un artiste à la tâche disproportionné et ingrate. Il se doit de savoir peindre avec des pinceaux géants, au bout d’un long bâton et souvent peindre sur une toile à même le sol ! Il faut également être capable de peindre et de représenter les choses sur une immense surface (plusieurs mètres de long et de hauteur). Le peintre de théâtre se doit également de comprendre les principes de la perspective et de la proportion qui peuvent être très différents dans un théâtre, selon la position de la scène et de la salle de spectacle. Les décors de Georg Daubner ne se limitaient pas seulement à l’exécution d’un fond représentant un paysage de montagne. Il ajoutait par exemple à ce décor une rampe en bois, des éléments végétaux et de l’ameublement de théâtre. Hans Pfitzner était très exigeant et voulait recréer un décor en 3 dimensions pour magnifier la représentation. Il souhaitait une alliance des éléments qui composait l’opéra, outre le chant, la danse et la musique, le décor devait faire corps avec la pièce. Ainsi, l’opéra pouvait gagner en intensité. Hans Pfitzner trouvait en la personne de Georg Daubner, durant sa période Strasbourgeoise, un excellent collaborateur capable d’exécuter ses préoccupations artistiques. Il exécutait avec brio, plusieurs décors qui composait le répertoire de Strasbourg de cette époque, et notamment pour l’opéra wagnérien. Daubner s’attachait aussi les artistes Joseph Sattler et Léo Schnug pour la composition des costumes et de certains décors. On peut aisément s’imaginer la haute qualité des représentations à Strasbourg. Voici un bref aperçu des grandes compositions que réalisa Georg Daubner pour l’Opéra de Strasbourg :
- 1910 Michelangelo de H. C. Abel
Paysage de neige en Alsace. Huile sur toile. SbG. Collection particulière, Alsace.
- 1911 Faust
- 1912 Orphée
- 1913 Les Noces de Figaro
- 1914 Parsifal
- 1916 Hans Heilig
- 1916 Le songe d’une nuit d’été
- 1917 La nuit des rois
- 1918 La flûte enchantée
- 1921 La damnation de Faust
- 1922 Pelléas et Mélisande
A plusieurs reprises, Georg Daubner réalisait les décors pour les nombreuses représentations du répertoire de Richard Wagner, dont il admirait l’œuvre, tout comme Hans Pfitzner. Wagner attachait un grand intérêt pour les décors, les costumes et la mise en scène, qui devaient participer à son œuvre musicale. En cela, Hans Pfitzner et Georg Daubner, étaient de parfaits suiveurs. Daubner réalisait le décor pour Siegfried, L’or du Rhin ou le Crépuscule des Dieux. Pour clore ce passage sur la peinture de théâtre, Victor Beyer, rédacteur d’une courte monographie sur l’artiste, au court de la rétrospective de Georges Daubner au Cabinet des estampes de Strasbourg, tenait ce jugement suivant à propos de son art du décor : « à voir les maquettes de Daubner, il semble que les frontières n’existaient pas pour lui entre la peinture de paysage, de campagne ou d’architecture, et le décor de théâtre, si ce n’est pas l’effet d’une plus grande rigueur de structure d’un pittoresque plus poussé ou d’une dramatisation wagnérienne »
Paysage de neige en Alsace. Huile sur toile. SbG. Galerie Kiwior à StrasbourgLa grande guerre interrompt la vie artistique strasbourgeoise. La Maison d’art alsacienne n’est plus que l’ombre d’elle-même. Une partie des jeunes collègues ont rejoints les fronts, les actions, et les expositions se font rares. Georg Daubner poursuit sa tâche auprès de l’Opéra de Strasbourg.
Georg Daubner était devenu un alsacien d’adoption
En 1919, le retour de l’Alsace à la France rend très difficile son assimilation au nouveau statut de la région. En tant qu’allemand, il est souvent inquiété. Daubner envisage un temps, tout comme Lothar von Seebach, de s’installer en Allemagne. La ville d’Hambourg lui propose un poste fort intéressant. En dernière minute, sous l’insistance de sa famille et de ses amis, Daubner reste en Alsace. En 1920, il est naturalisé français grâce à l’appui de nombreux amis et connaissances qui favorisent cette décision. En effet, Georg Daubner était devenu un alsacien d’adoption. Rupert Carabin, le nouveau directeur de l’Ecole des arts décoratif de Strasbourg, veut absolument conserver Daubner dans la nouvelle équipe pédagogique. Ce dernier restera en fonction jusqu’en 1924 et aura été l’un des plus anciens professeurs de l’Ecole avec un engagement de 32 années. Malgré sa retraite, Georg Daubner continuait à exercer la fonction de peintre décorateur à l’Opéra et ce jusqu’à son décès survenu brutalement en 1926. La maladie l’a foudroyé en quelques temps et ne lui a pas permis de s’inscrire correctement dans le nouveau paysage artistique strasbourgeois encore bien perturbé par la grande guerre.
Paysage. Huile sur toile 72x98cm. SbG. Galerie Kiwior à Strasbourg
De manière surprenante, peu d’hommages lui ont été rendus. En 1926, la galerie Siegel de Strasbourg lui consacre l’unique rétrospective de sa carrière. L’œuvre de Georg Daubner apparaît dès lors, de temps à autre, dans des expositions où il passe inaperçu dans la muséographie. Pour ne citer qu’un exemple, l’exposition Richard Wagner qui a eu lieu à l’Opéra de Paris en 1984 a présenté certains décors de Georg Daubner pour illustrer les opéras wagnériens. Son œuvre est pourtant abondante et conservée dans différents musées comme à Strasbourg, Haguenau, Budapest et le Theater Museum de Cologne.
Remerciements :
Nous tenons à remercier Madame Christine Speroni du Musée d'Art moderne et contemporain de la Ville de Strasbourg pour son aimable autorisation à reproduire des oeuvres de l'artiste que le musée conserve.
Nous remercions également tous les collectionneurs ayant souhaité garder l'anonymat de nous avoir donné leur accord pour la reproduction de leurs oeuvres.
Autres oeuvres de l'artistes :
Paysage de neige en Alsace. Huile sur toile. SbG. Provenance Galerie Kiwior à Strasbourg. Collection particulière.
Paysage d'Alsace. Aquarelle. 370x510mm. SbD. Galerie Kiwior à Strasbourg